Friday 6 September 2013

G20 «Siamo divisi a metà», ha detto infatti Putin.

In una dichiarazione diffusa al termine del G20, 11 Paesi (Australia, Canada, Francia, Italia, Giappone, Corea del Sud, Arabia Saudita, Spagna, Turchia, Gran Bretagna e Stati Uniti) «condannano l'attacco con armi chimiche avvenuto a Damasco il 21 agosto e di cui il regime di Assad viene ritenuto responsabile». Il documento è firmato anche dall'Italia.
 Nel documento - redatto a margine del G20 a San Pietroburgo, Russia - si «condanna in modo categorico l'orribile attacco» effettuato usando gas nocivi lo scorso 21 agosto alle porte della capitale siriana Damasco. «Le prove indicano che è il governo siriano (guidato dal presidente Bashar al-Assad) ad esserne il responsabile». I leader dei Paesi firmatari «invitano a una forte risposta internazionale a questa grave violazione delle regole, consapevoli che un chiaro messaggio verrà inviato» ossia che «questo tipo di atrocità non può mai più ripetersi. Coloro che hanno commesso questi crimini devono rispondere» delle loro azioni.
Alla fine del G20 il tanto atteso faccia a faccia tra Putin e Obama è avvenuto. Una discussione di 20 minuti, terminata però, con un nulla di fatto. Non ci sono posizioni che convergono, ha spiegato il leader russo nella conferenza stampa a lavori conclusi. E nel caso di un attacco a Damasco, Mosca sarà pronta a portare i suoi aiuti in difesa della Siria: «Stiamo già aiutando, inviamo armi, cooperiamo nella sfera economica, auspichiamo di estendere tale cooperazione al settore umanitario, che include l'invio di aiuti umanitari e il sostegno delle persone e dei civili».

«L'applicazione della forza nei confronti di uno Stato sovrano è possibile solo per autodifesa e con il mandato Onu, e non è questo il caso. Come già detto, chi agisce in modo unilaterale viola la legge internazionale , ha precisato il presidente russo facendo poi l'elenco dei paesi contrari all'intervento: «Cina, Argentina, Italia e Brasile», oltre a India e Indonesia. Putin ha incluso, in qualche modo, anche il Vaticano tra i contrari all'attacco, definendo «importante» il messaggio inviato dal Papa in questo senso. A favore di un'azione militare, ha aggiunto il capo del Cremlino, si sono espresse Usa, Canada, Turchia e Sud Corea. I due presidenti antagonisti sono d'accordo a continuare le trattative con i rispettivi ministri degli esteri.
Corriere della Sera

Azerbaijan Oil and Gas Poduction and projects

Azerbaijan, a resource-rich South Caucasus republic, forecasts growth in the oil and gas output over the long term in the backdrop of the implementation of large-scale energy projects.
The Industry and Energy Ministry announced that currently the country's proven gas reserves are at the level of 2.6 trillion cubic meters, while the oil reserves amount to 2 billion tons.
The cited indicators ensure future development of the gas industry in Azerbaijan for a period exceeding 100 years.
According to the projections, the country's oil production will hit 51 million tons in 2015.
Gas production will amount to 27.54 billion cubic meters in 2013, 29.39 billion cubic meters in 2014, and 30.19 billion cubic meters in 2015.
Azerbaijan is an important current and future supplier of both oil and natural gas. The country's largest hydrocarbon deposits are located in the Caspian Sea, particularly, the Azeri-Chirag-Guneshli (ACG) block of oil and gas fields and Shah Deniz gas field.

Source: Azernews

Panasonic veut convaincre de sa renaissance

Coincée entre les annonces attendues de Sony et  de Samsung, celle de Panasonic n'a pas eu beaucoup de retentissements, jeudi 5 septembre, au Salon international consacré à l'électronique grand public de Berlin. Le groupe y présentait un téléviseur 4K, une technologie d'ultra-haute définition, ainsi qu'une tablette géante de 20 pouces de diagonale principalement destinée au marché professionne.

Pour la période allant d'avril à juin, l'ancien fleuron de l'électronique a enregistré un résultat net de 107,8 milliards de yen (800 millions d'euros), contre 12,8 milliards une année auparavant. Le groupe devrait même finir l'année dans le vert pour la première fois en trois ans.
Pour en arriver là, Panasonic s'est lancé dans des opérations de restructuration sans précédent. En trois ans le groupe s'est séparé de pas moins de 92 000 salariés, enregistrant au passage 236 milliards de yens d'économie entre 2012 et 2013.
Autre explication de la santé retrouvée de Panasonic : le cours du yen. La dépréciation de la monnaie nippone voulue par le gouvernement a, entre autres, permis à plusieurs géants industriels de sortir la tête de l'eau.
  Mais surtout a l'arrivé à la tête du groupe de Kazuhiro Tsuga,en juin 2012.
"L'entreprise est en train de changer fondamentalement. M. Tsuga l'a réorganisée et a décidé d'abandonner d'ici à 2015 toutes les activités qui ne réaliseraient pas au moins 5 % de marge", déclare-t-il.
"Aujourd'hui, ce sont surtout les activités professionnelles qui sont en croissance, explique M. Abadie,président directeur général de Panasonic Europe, nous fournissons par exemple les batteries de voitures électriques ou encore les écrans de divertissement pour les avions, sur lesquels nous sommes leader, avec 70 % de part de marché". Panasonic possède en outre des activités fructueuses dans la domotique et dans l'énergie.
Elle garde une présence dans le segment electonique grand public, mais a compris que ses relais de croissance étaient dans des secteurs comme l'énergie ou encore l'automobile.

Source: Le Monde

Le président de la BCE, Mario Draghi:les taux directeurs de la BCE resteraient bas "pour une période prolongée".

Le 4 juillet, le Romain a dévoilé que les taux directeurs de la BCE resteraient bas"pour une période prolongée". C'est ce qu'on appelle la forward guidance, ou le "pilotage des anticipations".
C'est une révolution pour cette institution qui, jusque-là, refusait de lâcher le moindre indice sur sa stratégie. M. Draghi emprunte là le même chemin que la Réserve fédérale américaine (Fed) et la Banque d'Angleterre (BoE), converties à ce type de communication depuis le début de la crise. "Les banquiers centraux ne se sont jamais montrés aussi transparents avec les marchés", souligne Fabrice Montagné, économiste chez Barclays.
En vérité, la BCE n'a pas vraiment eu le choix. Lorsqu'en mai la Fed, prenant acte de la reprise outre-Atlantique, a annoncé qu'elle allait stopper ses rachats massifs d'actifs, les investisseurs ont misé sur une remontée des taux américains à long terme. Et dans la foulée, sur celle des taux européens puisqu'en général le redémarrage du Vieux Continent suit de quelques mois celui des Etats-Unis.
  La crise de la dette a laissé de telles séquelles que la croissance en zone euro ne devrait pas significativement repartir avant 2015.
 Une remontée trop rapide des taux aurait pu replonger l'Espagne, le Portugal ou l'Italie dans la tourmente... Voilà pourquoi, afin de la stopper net et de modifier les anticipations des marchés, M. Draghi s'est résolu à annoncer qu'il ne changerait pas de politique avant des mois. Avec succès : les taux européens se sont détendus.
 Le défi de M. Draghi s'annonce délicat. Il va devoir faire comprendreaux investisseurs que la forward guidance à l'européenne ne répliquera pas à la lettre celle des Etats-Unis.
D'autant que la forward guidance, malgré ses atouts, n'évitera peut-être pas à la BCE de prendre de nouvelles mesures.

Source: Le Monde

Syrie : le dîner du G20 qui confirme les divisions internationales

Les dirigeants des vingt plus grandes puissances se sont retrouvées à Saint-Pétersbourg, jeudi 5 septembre, pour le premier dîner d'un G20 à l'agenda bouleversé par la Syrie. Après plusieurs jours d'échanges à distance, la tension est encore montée d'un cran entre François Hollande et Barack Obama d'un côté – qui accusent le régime de Bachar Al-Assad d'avoir tué des centaines de civils avec des armes chimiques et plaident pour une intervention militaire –,  et le président russe, Vladimir Poutine, de l'autre, qui maintient son veto.


Ce dîner n'a finalement pu que "confirmer la division" sur la Syrie, a estimé, sur Twitter, le chef du gouvernement italien Enrico Letta .
Le plus petit dénominateur commun trouvé par les leaders du G20 aura été la simple condamnation générale de l'usage des armes chimiques. "La question pour certains était de savoir qui avait utilisé ces armes chimiques. Poutine n'y répond pas. Il dit 'les uns ou les autres et sans doute les uns et les autres'", selon une source diplomatique française.
Le président américain avait, plus tôt, estimé que les leaders mondiaux devraient"admettre que l'utilisation d'armes chimiques en Syrie n'était pas seulement une tragédie, mais aussi une violation du droit international qui devait être réglée".
Peu avant ce dîner, Mme Merkel a rendu une visite impromptue à François Hollande, venant défendre en tête-à-tête sa position, partagée par la majorité écrasante des Européens : le rejet de toute intervention militaire qui serait conduite sans l'aval de l'ONU et la priorité absolue accordée à la voie politique.

Source: Le Monde

Precious Metals Prices 8.24 a.m. Eastern Time

Gold Price Futures     US$   1,383.04

Silver Price Futures    US$       23.81

The real Employment Situation in the U.S., August 2013

THE EMPLOYMENT SITUATION -- AUGUST 2013


Total nonfarm payroll employment increased by 169,000 in August, and
the unemployment rate was little changed at 7.3 percent, the U.S.
Bureau of Labor Statistics reported today. Employment rose in retail
trade and health care but declined in information.

Household Survey Data

Both the number of unemployed persons, at 11.3 million, and the
unemployment rate, at 7.3 percent, changed little in August. The
jobless rate is down from 8.1 percent a year ago. (See table A-1.)

Among the major worker groups, the unemployment rates for adult men
(7.1 percent), adult women (6.3 percent), teenagers (22.7 percent),
whites (6.4 percent), blacks (13.0 percent), and Hispanics (9.3
percent) showed little change in August. The jobless rate for Asians
was 5.1 percent (not seasonally adjusted), little changed from a year
earlier. (See tables A-1, A-2, and A-3.)

In August, the number of long-term unemployed (those jobless for 27
weeks or more) was about unchanged at 4.3 million. These individuals
accounted for 37.9 percent of the unemployed. Over the past 12 months,
the number of long-term unemployed has declined by 733,000. (See 
table A-12.) 

The civilian labor force participation rate edged down to 63.2 percent
in August. The employment-population ratio, at 58.6 percent, was
essentially unchanged. (See table A-1.)

The number of persons employed part time for economic reasons
(sometimes referred to as involuntary part-time workers) declined by
334,000 to 7.9 million in August. These individuals were working part
time because their hours had been cut back or because they were unable
to find a full-time job. (See table A-8.)

In August, 2.3 million persons were marginally attached to the labor
force, down by 219,000 from a year earlier. (The data are not
seasonally adjusted.) These individuals were not in the labor force,
wanted and were available for work, and had looked for a job sometime
in the prior 12 months. They were not counted as unemployed because
they had not searched for work in the 4 weeks preceding the survey.
(See table A-16.)

Among the marginally attached, there were 866,000 discouraged workers
in August, essentially unchanged from a year earlier. (The data are
not seasonally adjusted.) Discouraged workers are persons not
currently looking for work because they believe no jobs are available
for them. The remaining 1.5 million persons marginally attached to the
labor force in August had not searched for work for reasons such as
school attendance or family responsibilities. 

Source: United States Department of Labor
              Bureau of labor Statitistics

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