Friday, 11 October 2013

Selon M. Villepin*, il y a trois raisons à l'instabilité mondiale. *Ex Premier Ministre

Dominique de Villepin s'est lancé dans une nouvelle bataille. Jeudi 10 octobre, devant un parterre de banquiers et de journalistes réunis au Foreign Correspondent Club de Hong Kong, l'ancien premier ministre français a appelé àcréer un monde juste, "équilibré", "où il y a de la place pour la prospérité de tous". Avant d'arriver à cette conclusion, M. Villepin a réclamé l'abolition des privilèges dont jouissent les pays occidentaux, manière à peine voilée de viser les Etats-Unis et leur planche à billets verts, imprimés pour éponger une dette sans cesse croissante.
Selon M. Villepin, il y a trois raisons à l'instabilité mondiale. Trois privilèges. En premier lieu, le contrôle de la monnaie, et le dollar, qui régit l'essentiel des échanges mondiaux. "L'Amérique est devenue le grand débiteur du monde, sauf qu'à la différence des ménages, elle n'a pas à rembourser." Ensuite, le contrôle des règles du jeu. Et comme le rappelle Dominique de Villepin"c'est plus facile degagner quand vous décidez des règles et que vous les changez au gré des besoins". Le troisième privilège est le contrôle des risques. "Décider de ce qui est risqué ou ne l'est pas, c'est décider de là où va l'argent ou non." Et Dominique de Villepin de rappeler que le marché des agences de notation est à 96 % contrôlé par les Etats-Unis avec le quasi-triopole Moody's, Standard and Poor's et Fitch. . Trois privilèges. En premier lieu, le contrôle de la monnaie, et le dollar, qui régit l'essentiel des échanges mondiaux. "L'Amérique est devenue le grand débiteur du monde, sauf qu'à la différence des ménages, elle n'a pas à rembourser." Ensuite, le contrôle des règles du jeu. Et comme le rappelle Dominique de Villepin"c'est plus facile degagner quand vous décidez des règles et que vous les changez au gré des besoins". Le troisième privilège est le contrôle des risques. "Décider de ce qui est risqué ou ne l'est pas, c'est décider de là où va l'argent ou non." Et Dominique de Villepin de rappeler que le marché des agences de notation est à 96 % contrôlé par les Etats-Unis avec le quasi-triopole Moody's, Standard and Poor's et Fitch. 

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